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On voit de haut le sommet des autres gratte-ciels, dont un, selon Anne, accueille des catapultes à usage militaire. - DSCF0200
Pour finir ce voyage en beauté nous avons dîné au Cielo, sur le toit d’un immeuble de 23 étages seulement. C’était très bon et très français. La vue était aussi magnifique et on voyait, bien sûr, les tours Petronas au loin. - DSCF0152
Les tours jumelles Petronas, que nous avions zappées à notre premier passage par ici, valent le coup d’œil (pardon pour les âmes sensibles). Le pont suspendu entre les tours, à 170 mètres au-dessus du sol, est déjà remarquable, mais l’étage 86 (le plus haut ouvert au public), à 370 mètres, offre une vue superbe sur cette ville étonnante. - DSCF0143
Dans le centre ville les piétons ne sont pas vraiment les bienvenus au niveau du sol. L’air est très pollué, le trafic automobile est plus que dense, traverser une rue est une épreuve. Bref, le niveau 0 est pour les voitures. Heureusement il existe un réseau de passerelles en hauteur, dont certaines sections sont même climatisées, et qui permettent de circuler à pied. On y fait des kilomètres sans risquer de se faire écrabouiller. - DSCF9911
Toujours plus haut, nous avons pris le funiculaire qui grimpe à toute vitesse (environ 20 km/h) pendant 2 kilomètres tout en haut des plus hautes collines de Penang, à plus de 700 mètres au-dessus de George Town. La vue est magnifique. La manie des cadenas a aussi frappé ici mais elle semble parfaitement maîtrisée et même commercialement exploitée. Il y a également un “sky walk” et un “sky desk” mais rien de comparable avec les excentricités vitrées des tours. Les amateurs de vertige en seront pour leurs frais cette fois-ci. - DSCF9935
Encore que… le trajet de descente en funiculaire rappelle un peu la montagne russe Goudurix du parc Asterix, les loopings en moins. C’était notre septième et dernier jour en Malaisie, demain nous partons pour Banda Aceh en Indonésie puis Pulau Weh, la petite île où nous allons plonger pendant deux semaines. - DSCF9892
Les jardins sont très beaux. On y trouve une treille sur laquelle les moines cultivent une sorte de calebasse. Le contraste est saisissant entre la minceur des tiges principales et la taille des fruits. - DSCF9895
Et non, ce n’est pas un temple nazi, les swastikas qui ornent les Bouddhas sont un symbole religieux bien plus ancien et, de toute façon, elles ne sont pas orientées pareil. - DSC07885
Elle grouille de bestioles qui nagent, sautent et rampent. Jusqu’à récemment nous pensions qu’il s’agissait de grenouilles mais ce sont plus probablement de gros lézards gris. Ils pataugent dans la bouillasse avec délice et n’en sortent que pour se dorer au soleil. - DSC07801
Comme partout, nous sommes très intéressés par les marchés d’alimentation et, de manière générale, les commerces de bouche. On aime manger, quoi, et on aime les trucs nouveaux ou bizarres. A Banda Aceh et à Pulau Weh, le poisson tient une place importante, qu’il soit frais ou séché. - DSCF0139
Dernier numéro de ce petit journal de voyage. Nous avons passé la journée à Kuala Lumpur. Shopping le matin, visite à des hauteurs vertigineuses l’après-midi, super dîner le soir. Le centre ville est un temple de la consommation. Les centres commerciaux rivalisent de décorations et de musique tonitruante pour attirer les clients. La pop commerciale, qu’elle soit chinoise, japonaise, indienne ou occidentale est omniprésente, affligeante de médiocrité et, pour tout dire, insupportable. - DSCF0110
En passant par Banda Aceh, lors de notre voyage de retour à Kuala Lumpur, nous avons fait un nouveau petit tour. Lors du raz-de-marée de 2004 la ville était alimentée en électricité par un gros bateau-centrale-électrique amarré dans le port. La vague l’a déplacé de 6 kilomètres à l’intérieur des terres. - DSC07804
Les tout petits poissons séchés servent de condiment et on en trouve parfois une pincée dans un plat de poulet. C’est salé et ça croque sous la dent. - DSCF0078
Pulau Weh est à l’extrémité nord-ouest de l’arc de volcans Indonésiens. Nous avons déjà vu et senti la version sous-marine du volcan, ce matin nous avons repris notre becak pour la dernière fois et nous avons été voir (et sentir) la version terrestre. Ça crache des gaz chauds qui puent l’hydrogène sulfuré par plein de petits trous jaunâtres. Mais c’est moins rigolo que sous l’eau, il manque les bulles.