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Accueil / Voyages / Indonésie, Banda Aceh, Pulau Weh, février 2019 38
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Ici la monnaie est la roupie indonésienne. Deux choses surprennent à propos de l’argent. Tout d’abord notre fort pouvoir d’achat. Un bon repas au restaurant coûte entre 2 et 3 euros, boissons comprises. Ensuite le nombre de zéros sur les billets. Avant-hier nous avons retiré 3 millions au distributeur à Sabang. Après quelques menues dépenses notre fortune étalée sur la table basse du bungalow se monte à 2 millions et 830000 roupies, soit environ 175 euros. On a vraiment l’impression de jouer au Monopoly. - P2080318
Autre Particularité de Pulau Weh, du jeudi 19h00 au vendredi 14h00 la “tradition” impose de ne pas se baigner, de ne pas plonger, de ne pas pécher, bref de ne rien faire dans l’océan. Il y a une exception pour le ferry entre Banda Aceh et Pulau Weh mais c’est la seule. Notre club de plongée respectant cette “tradition”, nous n’avons donc pas plongé aujourd’hui (mais nous aurions pu faire la sortie de 15h00). En lieu et place nous avons repris notre becak (prononcez bé-t’chak) pour aller nous balader. - P2080294
Nous avons été jusqu’à une petite cascade (quelle destination touristique n’a pas sa cascade ?) à travers la forêt. - P2080292
Ça nous a donné l’occasion d’enrichir notre collection de flore et de faune. - P2080288
La sensitive est cette drôle de plante dont les feuilles se recroquevillent dès qu’on les touche. Sa fleur en forme de petite boule duveteuse rose est très jolie. - P2080299
Les mille-pattes d’ici sont nettement plus gros que ceux de chez nous. Nous en avons vu un d’au moins 10 centimètres en train de croquer un fruit tombé à terre. Regardez bien, on voit ses dents. Mais il n’approche pas la taille de ceux de Zanzibar qui étaient gros comme des saucisses de Francfort. Pour finir nous avons déjeuné et passé l’après-midi dans un petit hôtel charmant en bord de mer. Miracle, on y trouvait de la bière et du vin. Miracle, le vin blanc était encore plus infâme que celui que j’ai essayé de fabriquer l’an dernier. Je crois bien n’avoir jamais bu vin aussi mauvais. Et tiède, en plus. - DSC07801
Comme partout, nous sommes très intéressés par les marchés d’alimentation et, de manière générale, les commerces de bouche. On aime manger, quoi, et on aime les trucs nouveaux ou bizarres. A Banda Aceh et à Pulau Weh, le poisson tient une place importante, qu’il soit frais ou séché. - DSC07804
Les tout petits poissons séchés servent de condiment et on en trouve parfois une pincée dans un plat de poulet. C’est salé et ça croque sous la dent. - DSCF0012
Les pâtes, avec le riz, sont plus qu’essentiels. Plus de 9 plats sur 10 en contiennent une bonne part. - DSCF0017
Au marché de Sabang, la ville principale de Pulau Weh, on peut assister à la fabrication des pâtes en direct. Ici les gens ont l’air ravis qu’on les prenne en photo. Et ils adorent aussi faire un welfie avec des occidentaux. C’est rigolo d’être accosté par un groupe d’inconnus qui demandent si on veut bien être pris en photo avec eux. On se prend un court instant pour des stars... - DSCF0035
Les piments, bien sûr, sont presque partout. Lorsqu’on aime ça c’est parfait, sinon mieux vaut prévenir le cuistot pour adoucir le trait... - DSCF0037
On a découvert ici un drôle de fruit, le tamarillo, qui ressemble un peu à une tomate olivette, mais qui pousse sur un arbre, d’ailleurs baptisé “arbre à tomates”. A Pulau Weh on en tire, entre autres, un jus de fruit délicieux qui rappelle un peu le goût du tamarin (d’où peut-être la ressemblance des noms). - DSCF0078
Pulau Weh est à l’extrémité nord-ouest de l’arc de volcans Indonésiens. Nous avons déjà vu et senti la version sous-marine du volcan, ce matin nous avons repris notre becak pour la dernière fois et nous avons été voir (et sentir) la version terrestre. Ça crache des gaz chauds qui puent l’hydrogène sulfuré par plein de petits trous jaunâtres. Mais c’est moins rigolo que sous l’eau, il manque les bulles. - DSCF0084
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Sur le chemin du retour nous avons longé une étonnante file de panneaux colorés à la gloire de deux futurs mariés. La cérémonie battait son plein de l’autre côté de la route. Ici, celui qui ne trouve pas la noce n’a pas d’excuse.