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Les pâtes, avec le riz, sont plus qu’essentiels. Plus de 9 plats sur 10 en contiennent une bonne part. - DSCF0017
Au marché de Sabang, la ville principale de Pulau Weh, on peut assister à la fabrication des pâtes en direct. Ici les gens ont l’air ravis qu’on les prenne en photo. Et ils adorent aussi faire un welfie avec des occidentaux. C’est rigolo d’être accosté par un groupe d’inconnus qui demandent si on veut bien être pris en photo avec eux. On se prend un court instant pour des stars... - DSCF0021
Nous avons aussi revu les drôles de bateaux utilisés par les pécheurs d’ici. On dirait des gondoles vénitiennes coupées en deux. Leurs moteurs font tellement de bruit qu’on les entend à un kilomètre au moins. - DSCF0034
Les stations service sont rares, surtout à Pulau Weh, mais comme tout le monde ou presque roule en scooter, les besoins sont limités. On achète l’essence au bord des routes, à des particuliers qui en font commerce, dans des bouteilles en plastique de 1,5 litre. On a déjà vu ça ailleurs mais je n’arrive pas à me rappeler où. - DSCF0035
Les piments, bien sûr, sont presque partout. Lorsqu’on aime ça c’est parfait, sinon mieux vaut prévenir le cuistot pour adoucir le trait... - DSCF0037
On a découvert ici un drôle de fruit, le tamarillo, qui ressemble un peu à une tomate olivette, mais qui pousse sur un arbre, d’ailleurs baptisé “arbre à tomates”. A Pulau Weh on en tire, entre autres, un jus de fruit délicieux qui rappelle un peu le goût du tamarin (d’où peut-être la ressemblance des noms). - DSCF0047
Le long des routes on voit des clôtures vivantes. Ici, apparemment, il suffit de planter des piquets et d’attendre qu’ils se transforment en arbres pour former une palissade impénétrable. Pratique, il faut juste être patient. - DSCF0051
Ici la monnaie est la roupie indonésienne. Deux choses surprennent à propos de l’argent. Tout d’abord notre fort pouvoir d’achat. Un bon repas au restaurant coûte entre 2 et 3 euros, boissons comprises. Ensuite le nombre de zéros sur les billets. Avant-hier nous avons retiré 3 millions au distributeur à Sabang. Après quelques menues dépenses notre fortune étalée sur la table basse du bungalow se monte à 2 millions et 830000 roupies, soit environ 175 euros. On a vraiment l’impression de jouer au Monopoly. - DSCF0061
Demain matin nous quitterons notre sympathique bungalow au bord de la mangrove. Le matin la mangrove resplendit de toutes ses fleurs écloses de nénuphars. - DSCF0078
Pulau Weh est à l’extrémité nord-ouest de l’arc de volcans Indonésiens. Nous avons déjà vu et senti la version sous-marine du volcan, ce matin nous avons repris notre becak pour la dernière fois et nous avons été voir (et sentir) la version terrestre. Ça crache des gaz chauds qui puent l’hydrogène sulfuré par plein de petits trous jaunâtres. Mais c’est moins rigolo que sous l’eau, il manque les bulles. - DSCF0084
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Sur le chemin du retour nous avons longé une étonnante file de panneaux colorés à la gloire de deux futurs mariés. La cérémonie battait son plein de l’autre côté de la route. Ici, celui qui ne trouve pas la noce n’a pas d’excuse. - DSCF0107
L’intérieur est un musée à vocation éducative abondamment fréquenté par les élèves des écoles. - DSCF0110
En passant par Banda Aceh, lors de notre voyage de retour à Kuala Lumpur, nous avons fait un nouveau petit tour. Lors du raz-de-marée de 2004 la ville était alimentée en électricité par un gros bateau-centrale-électrique amarré dans le port. La vague l’a déplacé de 6 kilomètres à l’intérieur des terres. - DSCF0115
On a ensuite été jeter un coup d’œil à la grande mosquée de Banda Aceh. Elle date du 16ème siècle, pour les parties les plus anciennes et elle est fort impressionnante. La pierre blanche domine et on en prend plein les yeux lorsque le soleil brille comme aujourd’hui.