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Accueil 13
Date de création / 2019 / Février / 5
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Aujourd’hui relâche, nous ne plongeons pas. Nous avons loué les services d’un conducteur de becak, un genre de tuk-tuk d’ici, pour visiter Sabang et Iboih, les deux plus gros villages de l’île. Un becak est une moto de moyenne cylindrée (150 cm3) couplée latéralement avec une caisse à savon 4 places. Heureusement nous n’étions que deux car les banquettes sont plutôt étroites. Comme Pulau Weh est assez vallonnée les trajets en becak prennent… un certain temps. Mais en Indonésie, d’après Fitos, il faut être patient. - DSCF9987
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Aujourd’hui, pour varier les plaisirs, pas de photos de poissons. Voici plutôt quelques trucs intéressants ou étonnants sur l’Indonésie et la région d’Aceh où nous sommes. Dans les zones d’Aceh touchées par le raz-de-marée de 2004 (Pulau Weh en fait partie même si elle a moins souffert que la ville de Banda Aceh) le souvenir en est encore très vivace. Dans toutes les villes et villages en bord de mer on voit des panneaux qui indiquent l’itinéraire d’évacuation à suivre en cas d’alerte. Le nôtre conduit à un endroit situé à 50 mètres d’altitude et à environ 1 kilomètre de notre bungalow. Ça devrait suffire, en 2004 la vague ne faisait “que” 18 mètres de haut lorsqu’elle a frappé les côtes. - DSCF0009
Nous avons pu constater la profusion d’affiches électorales en prévision des élections législatives nationales prévues en avril. Seize partis sont en lice, chacun présentant un nombre considérable de candidates et de candidats. Mais, toujours d’après Fitos, tout ça c’est bonnet blanc et blanc bonnet : des promesses, toujours des promesses… Ça rappelle la Malaisie. - DSCF0011
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Les pâtes, avec le riz, sont plus qu’essentiels. Plus de 9 plats sur 10 en contiennent une bonne part. - DSCF0017
Au marché de Sabang, la ville principale de Pulau Weh, on peut assister à la fabrication des pâtes en direct. Ici les gens ont l’air ravis qu’on les prenne en photo. Et ils adorent aussi faire un welfie avec des occidentaux. C’est rigolo d’être accosté par un groupe d’inconnus qui demandent si on veut bien être pris en photo avec eux. On se prend un court instant pour des stars... - DSCF0021
Nous avons aussi revu les drôles de bateaux utilisés par les pécheurs d’ici. On dirait des gondoles vénitiennes coupées en deux. Leurs moteurs font tellement de bruit qu’on les entend à un kilomètre au moins. - DSCF0034
Les stations service sont rares, surtout à Pulau Weh, mais comme tout le monde ou presque roule en scooter, les besoins sont limités. On achète l’essence au bord des routes, à des particuliers qui en font commerce, dans des bouteilles en plastique de 1,5 litre. On a déjà vu ça ailleurs mais je n’arrive pas à me rappeler où. - DSCF0035
Les piments, bien sûr, sont presque partout. Lorsqu’on aime ça c’est parfait, sinon mieux vaut prévenir le cuistot pour adoucir le trait... - DSCF0037
On a découvert ici un drôle de fruit, le tamarillo, qui ressemble un peu à une tomate olivette, mais qui pousse sur un arbre, d’ailleurs baptisé “arbre à tomates”. A Pulau Weh on en tire, entre autres, un jus de fruit délicieux qui rappelle un peu le goût du tamarin (d’où peut-être la ressemblance des noms). - DSCF0047
Le long des routes on voit des clôtures vivantes. Ici, apparemment, il suffit de planter des piquets et d’attendre qu’ils se transforment en arbres pour former une palissade impénétrable. Pratique, il faut juste être patient. - DSCF0051
Ici la monnaie est la roupie indonésienne. Deux choses surprennent à propos de l’argent. Tout d’abord notre fort pouvoir d’achat. Un bon repas au restaurant coûte entre 2 et 3 euros, boissons comprises. Ensuite le nombre de zéros sur les billets. Avant-hier nous avons retiré 3 millions au distributeur à Sabang. Après quelques menues dépenses notre fortune étalée sur la table basse du bungalow se monte à 2 millions et 830000 roupies, soit environ 175 euros. On a vraiment l’impression de jouer au Monopoly.